J’ai laissé dans des flaques de larmes, l’acier de mes armes
Des sombres vents d’avant, n’en reste que poussières furtives, à jamais captives, du passé, trépassé…
Car tu m’as ouvert la porte du bonheur, cet unique seigneur, lumière, bannière
En face duquel, les autres dieux ne sont rien que dogmes incertains, que relents de sang.
Le futur nous lange, les nuits prochaines seront nôtres, la sérénité en sera l’apôtre
Chris, je m’arrime là, a côté de toi…
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